Petites pensées, pour chacun d’entre eux

Mes yeux me piquent. J’ai la nausée, froid et les épaules voûtées. Ce soir, j’aimerais pouvoir aller me coucher et dormir le plus paisiblement possible. Ce soir, j’aimerais ne pas m’inquiéter pour elles, les victimes. Ni pour leurs proches. Mais il est déjà 2h du matin, et je n’arrive pas à me résoudre à lâcher mon écran. Et les infos en boucle.

Je sais que ça ne sert à rien, mais l’impuissance me frustre. Les évènements et tout ce qu’ils impliquent m’attristent. Et la colère me rend muette.

Ça ne me fait pas peur ; ça me fait mal.

Certes, les #PorteOuverture qui fleurissent sur les réseaux sociaux, le Safety Check de Facebook me rassurent un peu sur la nature humaine. Mais pourquoi cet esprit-là n’est-il pas aussi contagieux que la haine ? Pourquoi cette « Fraternité » de notre devise nationale se fait-elle encore piétiner ?

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