Mes yeux me piquent. J’ai la nausée, froid et les épaules voûtées. Ce soir, j’aimerais pouvoir aller me coucher et dormir le plus paisiblement possible. Ce soir, j’aimerais ne pas m’inquiéter pour elles, les victimes. Ni pour leurs proches. Mais il est déjà 2h du matin, et je n’arrive pas à me résoudre à lâcher…